J'sais plus quoi dire... J'aurais pu vous écrire la semaine passée que j'ai fait un petit coucou aux urgences et que j'ai passé la nuit là bas mais je ne l'ai pas fait, je pourrais aussi décompter ici les jours qu'il me reste avant l'opération tant attendue mais ça non plus je ne l'ai pas fait, ce blog reprendra surement lorsque je serai confinée chez moi après l'hospitalisation, lorsque l'écrit sera mon seul moyen de communication pendant plusieurs jours... On verra comment sera l'humeur à ce moment là, ... 

Bon, ben ya plus qu'à faire le reste! =)

Il est 14h, j'ai toujours autant mal au crâne et je ne trouve toujours que très peu d'énergie pour me mettre en activité. J'ai pas envie. Mais qui me demande mon avis? Personne, je dois le faire, je dois bouger, je dois retrouver des forces! Pourquoi faire puisque dans 2 semaines le schéma va se répéter? J'en sais rien... Je n'arrive pas à trouver le courage de tout recommencer, de me lancer en sachant qu'on va très vite m'arrêter pour me clouer au lit à nouveau. Alors? Alors je ne fais rien... Mauvais plan moi je vous le dis!      *soupir*
 

Dans les oreilles: David Gray. 

 

Continuer d'apprendre à les connaître tous les jours,
profiter de leurs présences et de leurs amitiés...

J'en veux encore! Je ne me lasserais pas de ces soirées improvisées,
de la dépendance que j'ai envers vous (ouai j'ai laissé tomber l'idée de trouver mon indépendance Laura!)
J'en aurai jamais marre de squatter chez vous, de vous réveiller le matin parce que je dois aller en cours,
de passer des heures à parler, ces heures qui passent sans qu'on les ait comptées!

Comme dit cette chanson que j'adore: "On sera jamais des standards,...", mais moi je sais ce que vous valez,
bien plus que... je pense que vous savez chacune de quoi je parle. 

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Bon, Ok, j'te montre!




ça y est!
Je me suis fait tatouer la peau à coup d'aiguille sadique
Parce que ouai, le tatouage c'est beau tout ça, mais ce dont on ne parle pas souvent c'est que
Putain, ça fait mal!
Genre on te découpe le bourlet au scalpel et tu peux rien dire parce que c'est toi qui l'a demandé!
Mais j'avoue, ça en valait la peine! Je suis contente de mon choix et de cette nouvelle partie de moi.
 

Voilà, j'ai promis un petit article sur les
Eurockéennes de Belfort

Nous étions donc début juillet 2oo9, le soleil brillait intensément et nous étions comme des enfants au milieu d'un aérodrôme parsemé d'un assez bon nombre de packs de bière et de quelques centaines de piquets de tentes... Et déjà ce faux accent belge qui plait tant aux français nous hantait comme un chewing gum plaqué à une convers malchanceuse! De là ont commencé les premières rencontres insolites, le premier feu du soir, la première cuite du séjour et la première fois avec un lapin! (vasy comment ils pensent mal! La première discussion avec un lapin bien entendu!) Nous avions tout: une tente de malade, des bières belges, du chocolat (merci heuuuu Monsieur avec des longs cheveux blonds!) des frigo-box à défoncer, et nous bien sur! Une fine équipe composée d'une bande d'allumés de la vie! le bonheur à l'état pur, restait plus que les bons concerts qui n'ont pas tardé à amener leurs watts dans le coin!

Ils se sont enchaînés, je dirais même plus, ils étaient déchaînés! La liste a commencé avec :

Je sais pas si je vous l'ai dit les boulets mais
merci pour tout, merci d'être vous et on remet ça l'année prochaine!!

C'est vrai, je faisais la gueule! Mais c'est parce qu'en souscrivant à Premium, j'ai foiré une manoeuvre et j'avais perdu mon habillage par défaut, ça m'a énervée, j'ai arrêté de faire des articles.  Mais je suis revenue. Ce soir j'ai remis un peu d'ordre: j'ai fusionné l'ancien "Kwack" avec l'habillage que j'avais fait à Tigrou et ma foie j'aime assez!

Et puis, petit à petit, les vacances touchent à leur fin, celles-ci ont été particulièrement mouvementées et riches. Plein de choses me sont arrivées, j'ai plein de pensées à partager et encore plus de choses à raconter. On a rit, on a pleuré, on a fait les enfants et on a du grandir un peu, mais en somme ce n'était que du bonheur et, dieu merci, ce n'est pas encore tout à fait terminé!